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 Hisra Benasrathi

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Valric Deux-sous-libres

Valric Deux-sous-libres


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MessageSujet: Hisra Benasrathi   Hisra Benasrathi EmptyJeu 1 Déc - 17:10

:: Parchemin d'Identité ::


    Nom : Asi Talith / Benasrathi, à n'employer que si l'on est un Métamorphe du Désert appartenant ou proche du gouvernement, étant donné qu'ils désignent grade et personnalité de leur porteur en vieux samarith et n'ont le droit d'être utilisés que par les Maîtres envers leurs serviteurs.

    Prénom : Hisra (Mektel chez les gwegens occidentaux, Sik'pati chez les Tajargi)

    Race : Métamorphe du Désert

    Age : 437 ans

    Groupe : Métamorphes du Désert

    Rang/Statut : Assassin Benasrathi

    Pouvoir/Don : Volonté de fer => insensibilité aux enchantements altérant les sentiments ; Sentence du Fravashi => l'utilisateur porte un violent coup à la tempe de la cible pour l'abattre instantanément, toutefois cela ne peut être réalisé qu'une seule fois avant d'avoir pris tout repos conséquent / Dans le sang => sensibilité à la magie des éléments ; Peur des Ombres => sensibilité à la lumière intense

    Arme(s) : Corps, lance, poignard.



:: Histoire ::

~ Aux archives de Yor'darthur ~

" Tasi Talabasetan. Moraes shukla, inane asim Talan. Enfant des seigneurs, l'assassin garde. En 32 de l'ère sabimide, je suis né, peut-être chez les Tajargi, mais suis devenu Hisra au sanctuaire d'Ebostisala, devenue Samaranthe, à mes 2 mois au moins, à en croire notre mentor de l'époque, ce dat'rahesi - ne vous en déplaise, Tasif - de Soufir. Comme mes frères et soeurs Talabasetan, j'ai été élevé avec la foi de l'assassin. Crâne rasé comme tous, respectant tous nos codes, j'ai été entraîné dans les souterrains du désert samaranite sans en sortir comme l'exige notre code pendant les 72 ans requis. J'ai été un parfait apprenti, de l'aveu de Soufir lui-même, dont je ne peux nier que si ça ne m'a jamais mené à ménager mes efforts, m'a toujours considéré comme son favori, avec sa fille par le sang Kiran, alors aspirante archiviste et seule disciple avec qui je pus me lier d'amitié.

Au fil des décennies, j'ai pu maîtriser nos arts martiaux et de torture (la discipline que je choisis au détour de mes 4 ans fut la lance), techniques de moine Talabasit, les mantras de l'ordre et les détails de notre culture, de même que ceux de Samaranthe, comme mes aînés avant moi. Ma progression s'est effectuée plus rapidement que mes frères et soeurs aux 5e et 7e étapes de mon entraînement, mais Soufir a malgré tout préféré attendre que j'atteigne l'âge requis avant mon intégration parmi les Fravashis Talith. L'expérience a été difficile, mais avec 3 autres recrues, sur nos 12 frères et soeurs mis à l'épreuve, nous avons supporté l'Akouhnar. Mes relations tant avec Soufir que mes acolytes, à commencer par Kiran, en furent dès lors irrémédiablement changées.

Jeune assassin, j'eus le temps d'apprendre à me déplacer hors du sanctuaire, la première mission qui me fut confiée ne l'étant pas avant mes 75 ans passés. Je ne sais si ce fut par jalousie ou simple intérêt, mais sa formation d'archiviste faisant que passé l'Akouhnar elle n'aurait plus à sortir amenait Kiran à passer la plupart de son temps en ma compagnie. Ou peut-être n'était-ce que mon teint basané tel celui de ses aînés qui l'intriguait alors... Peut-être serait-il intéressant de penser à laisser les non-Talith sortir davantage de leurs sanctuaires, et tirer quelque chose du peuple s'il ne nous est plus hostile. Quoi qu'il en soit, ma première mission officielle me permit de me distinguer auprès de notre père feu le Roi Garesi Torrion lui-même. Déjà des complots venaient des terres occidentales, mais grâce au code de l'ordre, capturer et faire avouer ses intentions au serpent humain du Nord-Ouest fut aisé, et je pus arrêter leur émissaire meurtrier à temps avec quelques pertes civiles seulement pour entâcher ma performance. Mais si notre futur était trouble, je savais qu'autant notre Seigneur Torrion que Soufir en avaient été satisfaits. Quoique toutes ne furent pas aussi prestigieuses, je pus réussi toutes les missions que l'on me confia, certaines aux côtés d'un autre frère Talabasit gwegen du nom de Gesazek, tandis qu'entretemps j'affûtais mes compétences, assumant mes devoirs envers le Talan, aidant entre autres comme je le pouvais mes frères à lutter contre les morts, qui au fin fond de la nécropole se relevaient, sans qu'on ne sut jamais pourquoi.

Le temps nous enleva quelques compagnons, au point que notre nom diminua du tiers en plus de deux siècles, des doyens aux recrues trop faibles, en passant par ceux qui tombèrent malgré l'entraînement sous les coups d'assassins étrangers, qui usaient de leur talent jusque sur le sol de Samaranthe. Mais, feu notre père le roi Torrion étant mort à l'orée de mes 297 ans, son successeur ne jugea jamais opportun de répondre à ces attaques. Et si je désapprouvais, je comprenais toutefois ses raisons, de même que Soufir. Quand j'eus atteint mes 350 ans, le climat politique changea toutefois soudainement. Les menaces se firent rares sur la personne de notre père le roi Tamir Yanec, ayant séduit la noblesse et ennuyé les occidentaux trop occupés à s'égorger dans leurs propres cours. Demeurant davantage au sanctuaire, cela me permit de me rapprocher de Kiran, alors qu'on me laissa le soin d'instruire les novices. Une expérience intéressante, que de voir du point de vue d'un maître de jeunes enfants s'entraîner de même qu'on le fit à leur âge... C'est durant cette période que je fus promu Benasrathi, encouragé par Kiran et Soufir.

[ Et au cas où l'archive aurait bien été perdue au fil de l'exil, qu'il soit clair que ce qui est arrivé entre les mentors Soufir, Tasif et Kamal n'a pas été de mon fait, quoique les siècles précédents il n'avait jamais proposé de Benasrathi à ses frères, je n'ai en rien interféré dans sa décision de me présenter contre les candidats des autres maîtres, c'est moi qui ai été le pion avancé dans ce jeu d'influences que les codes ont laissé prospérer au fil des siècles d'existence de notre ordre de par le monde (je vous renvoie au sort désastreux de notre ancien chapitre en Igma quant à la possible part d'influence qu'a pu avoir la culture orientale, plus encore celle humaine). ]

Déjà son Asi Talith, son bras armé, maintenant son lieutenant, ma relation avec sa fille ayant évolué au point que nous nous étions avoué notre amour réciproque, Soufir adopta dès lors une attitude étrange, plus marquée envers moi, mais affectant les Talabasetan à tous les niveaux. En une soixantaine d'années, Soufir sembla chercher à isoler le sanctuaire de la cité de Saramanthe, toutefois, en ma qualité de Benasrathi nous ne le laissâmes pas faire. S'il avait été un bon mentor, l'âge semblait l'avoir rattrapé. Peut-être ne l'avions-nous jamais vu auparavant, mais dès l'accession au pouvoir de notre mère la reine Torrion, Soufir sembla considérer étrangement son règne. Là où nombre d'entre nous la soutenaient, Soufir lui fit à de nombreuses reprises front. Les années passèrent, et nos liens avec la cité-état devinrent de plus en plus ténus. A la lumière des faits, la raison semble aujourd'hui évidente, et pourtant...

Il a fallu sentir le sol trembler, humer la poussière, entendre le tumulte pour que nous comprenions ce qui s'était passé. Samaranthe était prête à tomber sous les coups d'armées humaines venues d'Occident, tandis que depuis les tréfonds du sanctuaire, des formes fantomatiques jaillissaient en légions, drapées dans une brume obscure qui s'étendait sans halte jusque dans les vestibules, et surpassait par le nombre jusqu'à nos meilleurs Taliths. Il ne fut qu'une poignée d'entre nous pour parvenir hors de leur portée, sous les frappes du Soleil, écrasant aussi sûrement ceux d'entre nous qui jamais ne quittaient le sanctuaire que les rocs se brisant sur les temples samarantins, mais ce fut sous la menace d'un glaive que Soufir me renvoya dans le sanctuaire. M'ordonnant d'aller récupérer l'armure du Premier Mentor, celui qui fonda notre ordre, sur sa dépouille, Soufir ne me laissa le luxe de refuser. Je ne voulais laisser mes frères, moins encore Kiran, tenter de se frayer un chemin jusqu'au port de Samaranthe, mais je ne pouvais abandonner telle relique, là où nous avions déjà dû laisser près de la moitié de nos archives.

Peinant à effectuer une percée parmi les cadavres animés qu'il nous semblait impossibles à détruire tant qu'ils demeureraient dans leur linceul d'ombres éthéré, seul le support de Gesazek, resté pour m'aider, me permit de pénétrer les lignes de damnés, et d'accéder à la nécropole. Mais s'il fut facile de trouver le mausolée du premier Talbasit dans ce dédale sombre, ça le fut moins de retirer son arme et son armure au cadavre forcené, dont s'il n'avait sa raison il semblait encore apte à user de ses techniques. Ce n'est qu'au terme d'un combat rythmé par la clameur des hordes s'agitant non loin que le gwegen repoussait tant bien que mal et profitant que le défunt mentor ait fiché sa lance en argent dans mon épaule pour l'en désarmer que je parvins à le mettre à terre et le défaire de son précieux équipement. La lance, malgré son âge, se révéla efficace contre la horde, nous guidant jusqu'à l'extérieur du sanctuaire, à défaut de sains, saufs, tandis que le lieu tout entier ployait, jusqu'à ce qu'il n'en demeure plus que l'entrée scellée gisant sous le Soleil allant sur le déclin.

Exténué, j'échangeais mon armure endommagée avec l'aide de Gesazek contre celle cuivrée et relativement bien conservée que j'avais dérobé au défunt mentor. Mais avec tout le soutien de mon frère gwegen, abandonné à la merci d'un vent soufflant des grains de sable frappant ma plaie tels du charbon ardent, je ne dus mon salut qu'au secours d'une équipée de Tajargi et de leurs onguents, qui fuyant aussi sûrement que nous un désert parcouru désormais par des cadavres ambulants pris dans un brouillard d'ombres volatile dont on pouvait supposé que résidait la magie à l'origine d'un tel tour. Pénétrant dans une Samaranthe brisée, nous fîmes en sorte de contourner les garnisons humaines, notre connaissance des dédales samaranites nous étant en l'état plus favorable que notre fierté.

Quoiqu'il ne fut pas encore tombé, le port essuyait tout de même les assauts humains depuis la terre (les occidentaux n'avaient visiblement pas pris la peine d'envoyer une flotte, sans doute au fait des défenses maritimes inattaquables de la cité), Sa Majesté Rhoda Torrion tenant les barricades. Pourquoi, cela était difficilement explicable, alors que de navire en état de voguer, entre ceux incendiés intentionnellement ou non et ceux qu'avaient emprunté les fuyards, il ne demeurait plus que celui de la reine, et s'il nous en coutait de l'admettre, la ville était bien tombée. Mais alors qu'il était évident que les Talabasetan l'avaient abandonné, je n'en fis de même, aussi tant assassins que Tajargi nous vînmes en aide à Sa Majesté et sa poignée de soldats, tandis que l'on pouvait débarquer le navire royal sans craindre que des hordes ne passent les portes et ne puissent mettre fin à notre périple par le biais de quelques flèches enflammées.

Rares étaient les occasions où à titre de Talabasit l'occasion m'avait été donnée de repousser des vagues de soldats, moins encore avec une plaie ouverte à la poitrine, néanmoins malgré l'originalité de la situation on put embarquer, de justesse devrais-je dire alors que l'ennemi enfonçait déjà les portes que la reine Torrion, Gesazek et moi bondissions littéralement à peine à bord du navire, qui heureusement distança rapidement le rivage pour se perdre dans les eaux orientales. Une cité brisée et enveloppée de cet étrange brouillard noir dans notre sillage, notre voyage dura plus d'une semaine, un long temps pour un équipage d'une douzaine de membres, sans compter notre présence comme celle des Tajargi, dont la faim et la soif tiraillaient bien moins le gosier, et la maîtrise de la lance permettait de capturer quelques poissons au gré de notre errance.

Mais malgré notre méconnaissance de la mer, pour notre part et celle des Tajargi, l'équipage mena le navire à terre, jusque sur le continent d'Igma, ainsi que se pressa de nous le présenter l'émissaire qui attendait que le splendide navire samaranite débarque dans le port. Mettre pied à terre dans une ville humaine ne me plut guère, d'autant qu'à la reine Torrion me sembla-t-il, et à en juger par les regards qu'elles lançaient à ces dat'rahesi humains, l'on pouvait en dire de même pour les Tajargi. Mais en réponse à notre légitime méfiance, l'émissaire n'en finissait pas d'afficher l'un de ces sourires forcés que les Talabasetan sont habitués à voir sur le faciès de flagorneurs samaranites que l'on retrouve le plus souvent sous le fil d'une de nos lames et affublés du titre de conspirateurs.

Si de nombreux migrants samaranites, mais également Métamorphes, avaient eux-même échoué sur les rivages humains de Natalyr, il n'en fut aucun autre que nous qui soit Talabasit. Si Sa Majesté parvint à obtenir d'un de ces porcs et de leurs roquets supposément nos frères ayant fait main basse sur Griunn quelque parcelle de désert autrefois habitée mais aujourd'hui laissée à la mort, il n'en demeurait pas moins que nous avions perdu notre splendide cité et nous retrouvions désormais avec un simple cloaque en guise de pied à terre, perdu dans un marasme d'autres. C'était là ce qu'il résultait de la trahison d'un mentor, mes frères et soeurs. "


" [...] Les Tajargi se sont installées dans le désert, et Griunn accueille désormais un groupe d'imposteurs se proclamant de notre ordre, sous le nom de Sha'tse, ainsi qu'un groupe de mauvais croyants... Devant leur organisation, craignant pour Torrion, j'ai jugé bon d'assigner Gesazek à sa protection particulière, ni les griunnotes ni ce basra de Doraly ne semblant disposé à la considérer selon son rang. Je ne sais si c'est là ce que Soufir avait en tête, ni le rôle qu'a joué Kiran là-dedans, mais d'ici à ce que je les retrouve et rende la justice des Fravashis, je dois veiller sur la reine notre mère, et une fois que je les aurai découverts aviser quant à quoi faire de ces groupes dissidents. "
Lettre au mentor Shaoh Ziyi


:: Description du Physique ::

Légèrement plus grand qu'un Métamorphe du Désert normal, soit 1m85 environ, le crâne rasé associée à une barbe courte (seul un mentor a le droit de porter une barbe longue), en tant que Talabasit, même si c'est un Talith, dû à sa longue période de vie souterraine et au fait que tant pour protéger ses yeux du Soleil que pour se fondre dans la masse il porte un capuchon ou un cheich, son teint de peau est plus clair que celui de ses congénères, tandis que la clarté de ses iris semble provenir de sa filiation tajarsi. Après une vie consacrée à l'entraînement, le Talabasit présente un corps musculeux, mais travaillé, la force n'étant pas la prime qualité d'un assassin, contrairement au contrôle qu'il doit exercer sur chacun de ses membres, afférant à la force à transmettre autant qu'à la précision. Autre que son armure, ici celle qu'il a sauvegardé des nimbes du sanctuaire constituée d'un plastron associé à ses chausses de cuir noir, un Talabasit n'a le droit de porter devant ses maîtres aucun vêtement si ce n'est pour camoufler son visage. Reconnaissable par les samaranites, étant donné qu'il a toujours si ce n'est sa lance sa main au moins un poignard serti pendant à son flanc gauche et ce qui semble être une clé en pendentif, souvenir de l'ordre de Saramanthe, c'est d'ailleurs dans ce but que les Talabasit sont entraînés pour se déplacer en silence et se dissimuler dans les ombres au besoin, leur présence étant d'ordinaire étudiée pour dissuader quiconque de porter atteinte au corps ou à l'image d'un souverain.



:: Description du Caractère :

Quoiqu'en apparence extrêmement froids et antipathiques, pour peu que vous sachiez apprécier dans leur personnalité ce qui ne découle pas de plusieurs siècles de vie sous la férule d'un code moral et social apparemment très strict, les Talabasetan sont pourtant tout sauf froids, du moins si vous savez vous montrer digne d'intérêt, et que vous appartenez à la noblesse d'un royaume. Conservateurs à l'égard de leur ordre uniquement (un assassin ne sera raciste qu'envers une espèce qu'il considère indigne), quoiqu'ils dédaignent le peuple, la parole de leur souverain étant d'or, ils sont ouverts aux changements sociaux et politiques, dès lors que cela ne contrevient pas à leur rôle. Ayant choisi de servir, un Talabasit se réjouit, contrairement à ce que l'on peut croire, de toute chose n'affectant pas négativement son rôle (c'est de là que leur vient leur rôle de copiste, archiviste, gardien, cartographe, astronome, prêtre...). Mais si ils ont été éduqués afin de connaître les lois de leur pays, leurs missions requérant le plus souvent d'enquêter au sein de la population, les Talabasetan ne font que peu de cas des lois des autres pays, et agiront le plus souvent à la faveur de leurs propres lois, alors méfiez vous de ne pas manquer de respect à l'un de leurs maîtres, que ce soit des assassins d'un plus haut grade ou leur souverain, cela ne vous attirera que son ire, et si cela risque de commencer par une insulte en saramith (à titre personnel, Hisra a beau connaître la langue igmaréenne, il utilisera souvent des expressions et des exclamations samarantines), ne vous étonnez pas si votre trait d'esprit fini par n'être récompensé que par des os brisés, ou si vous avez de la chance subir directement la Sentence d'un Fravashi..



:: Relations ::


    Famille : Un Talabasit n'a pour seul parent que son roi ou sa reine
    Ami(e)s : Kiran, Gesazek
    Ennemi(e)s : Peuple commun des Métamorphes du Désert (peur/méfiance), Soufir Shakori




:: Divers ::


    Comment avez-vous connu le forum ? Je cherchais un forum avec du sang, de l'action et des donzelles à la beauté virginale. J'y étais presque, pourtant.
    Un petit commentaire ? Je lui vole sa pelle et lui en donne un grand coup dans la tronche.
    Nom de la célébrité sur l'avatar ? Ray Stevenson.
    Code :


Dernière édition par Hisra Benasrathi le Ven 2 Déc - 12:20, édité 1 fois
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Iryna Jonavitch
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MessageSujet: Re: Hisra Benasrathi   Hisra Benasrathi EmptyVen 2 Déc - 8:40

Bon, j'imagine que ta fiche est terminée.
Euh petits points de précision : ça fait quand même beaucoup de dons et pouvoirs pour un seul homme ... Wink A la base c'était trois maximum.
Ensuite, je ne suis pas sûre de comprendre lorsque tu parles de la "royauté Torrion" - outre le fait que soumettre ainsi des prénoms venus de ton influence n'est pas forcément quelque chose d'idéal -, leur famille ne sont que chefs de tribu. La royauté Métamorphe appartient uniquement à la famille Doraly.
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Valric Deux-sous-libres

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MessageSujet: Re: Hisra Benasrathi   Hisra Benasrathi EmptyVen 2 Déc - 13:07

1°) Tout à fait d'accord, même si il n'y avait techniquement qu'un don (les deux autres étant des techniques), rectifié. (nous sommes d'accord: Par le Sang et Peur des Ombres sont des 'dons' qui m'affectent, pas des pouvoirs à utiliser)

2°) La cité-état de Samaranthe n'était qu'un des nombreux foyers de Métamorphes du Désert à travers le globe, dotée de son propre gouvernement, les Torrion en ayant pris les rênes à la veille de l'ère sabimide. Pour avoir été la dernière reine samaranite autant que pour avoir protégé son peuple lors de la prise de la ville, elle a beau avoir perdu son titre face aux autorité 'officielles' en Igma (Samaranthe était indépendante de l'autorité des Doraly, famille royale qui traite désormais avec des humains du même acabit que ceux qui ont mené toute une civilisation à mendier dans les nids à tiques qui leur ont été alloués: tu crois que c'est une autorité que des assassins et une ancienne reine voudront respecter?), elle n'en demeure pas moins 'la reine' de la tribu de samaranites et Talabasetan. Il n'y a pas à discuter d'allégeance ici: les assassins soutiennent Rhona, pas le théâtre de pantins griunnotes que s'amusent à faire danser les marionnettistes humains, et encore moins l'ouverture aux humains, quitte à devoir basculer dans les extrêmes (les Talabasetan ont pour coutume de trancher la langue à tous ceux qu'ils prennent à médire sur leur souverain: je doute que de déclencher une guerre civile ne le soit trop pour eux).
Ce que l'on sait sur les ethnies et les PNJs tient sur un timbre poste, qu'on ne vienne pas me reprocher de vouloir donner davantage de substance à l'un ou l'autre, et de mettre des PNJs 'de mon cru' de partout, là où tous contribueront à mieux définir le peuple des Métamorphes du Désert (que font les assassins des autres tribus de Métamorphes du Désert, voire en général ? Pourquoi un assassin violerait le voeu sur lequel repose toute son existence ? Sans le joug de la tradition, comment considérer un groupe de meurtriers royaliste ? Pourquoi les Talabasetan ont-ils perdu Griunn, auparavant ? Que veulent les humains de Natalyr ? Combien de coups de poings faut-il pour tuer un roi humain ? Mais pourquoi n'y a-t-il que 7 Pepitos dans ce sachet de 8 ? Si les Tajargi ne sont que des femmes, cela veut-il dire qu'elles ont maîtrisé le pouvoir de la parthénogenèse ? Si je lui dis que j'écrivais un essai, mon prof d'histoire va-t-il me réprimander pour être arrivé en retard ?), et me permettront de disposer d'une trame à suivre pour mon personnage, voire pour les autres joueurs. Vous parlez d'instabilité politique, Igma prise entre imbroglios gouvernementaux, fanatisme et ire xénophobe: pour l'instant les autres acteurs s'amusent à improviser un ballet dans leur coin, pour ma part je vous offre une bonne poignée de poudre noire et un assassin en guise de mèche.
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